Cet ouvrage examine le rôle essentiel de la communication dans l’avancement des connaissances et la participation à la gouvernance des biens publics mondiaux (BPM). Le rôle de l’information est au cœur de toute théorie sur les BPM, car la sensibilisation passe par la création de messages et de récits crédibles.
L’ouvrage souligne l’importance de la compréhension des acteurs, de leurs interconnexions et de la manière dont ils négocient et gouvernent les BPM.
L’ouvrage plaide en faveur d’une compréhension renouvelée de la démocratie, suggérant une interprétation plus large qui donne la priorité à la délibération et à la réflexion publiques. Les prémisses clés comprennent la nécessité d’une légitimité institutionnelle, d’une participation active des citoyens, de partenariats structurés et de canaux de communication transparents pour le développement durable.
L’ouvrage souligne que la communication est fondamentale pour les processus de changement, la citoyenneté durable et la réalisation des droits de l’homme, y compris le droit à l’information et à la liberté d’expression. Ce faisant, il plaide en faveur d’un dix-huitième objectif de développement durable : la communication responsable.
Ce livre intéressera les étudiants, les universitaires et les chercheurs en relations internationales, en communication et en politique publique, ainsi que les décideurs et les professionnels des organisations internationales, des groupes de réflexion et des ONG à la recherche de fondements théoriques pour les stratégies de communication et les pratiques d’engagement des parties prenantes.
J’y ai pour ma part rédigé le chapître « The European Union, Green Transition and Civil Society. Increasing Consideration of the Role of the Consumer »